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Benjamin Rabier (1864 - 1939)

Début 1905, Benjamin Rabier s'attèle à la tâche d'illustrer les Fables de La Fontaine. Cet ouvrage de longue haleine paraîtra en 1906. Cette œuvre remarquable est toujours éditée de nos jours (éditions Tallandier) et est, sans doute, l'œuvre majeure de Benjamin Rabier. Chaque Fable fait l'objet d'une mise en page particulière. Au fil des presque 300 Fables, on peut admirer la plupart des styles de l'époque : Certaines pages sont construites "arts déco", à la Mucha, d'autres, plus rares "arts modernes", et la plupart dans un style très particulier et personnel qui annonce la bande dessinée actuelle. Découvrez, ici, quelques unes des Fables les plus célèbres...

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Benjamin Rabier est né le 30 décembre 1864 à La Roche Sur Yon. Son père, compagnon menuisier, originaire de l'Indre, y a épousé Marie Masson, la fille d'un aubergiste en septembre 1863. Benjamin a cinq ans quand ses parents déménagent pour la capitale. La famille habite les buttes Chaumont puis Vaugirard. Elève de l'école élémentaire de la rue des Fourneaux, il obtient le prix de dessin de la ville de Paris en 1879 et en 1880.
La famille n'est pas riche et, dès quartorze ans, le jeune Benjamin doit se mettre au travail. Il trie des cabochons pour des marchands d'ornements d'église qu'il quitte pour un emploi à la Caisse commerciale de Paris puis à la Caisse des dépôts et comptes courants.

Benjamin part au service militaire le 1er décembre 1885. Affecté au 33ème régiment d'infanterie à Arras, il gravit les échelons pour finir sergent major. Il est, sur concours, chargé de la décoration de la salle d'honneur de son régiment. Envoyé à Paris pour copier des aquarelles de bataille, il rencontre Sabatier et Caran d'Ache. Il est libéré en septembre 1889.

Dès avant sa libération, il sollicite un emploi à la préfecture de la Seine. Il passe l'examen en octobre 1889 mais ne sera engagé que le 17 janvier 1890. En attendant, il travaille comme comptable au Bon Marché. Il est engagé comme peseur auxiliaire dans le service des perceptions municipales. En avril 1890, il demande sa mutation aux halles centrales dont les horaires vont lui permettre de cumuler un deuxième emploi : contrôleur au Nouveau Cirque.
Grace à l'appui de Caran d'Ache, il place quelques dessins dans des revues telles que La Chronique Amusante et le Gil Blas illustré. Jusqu'en 1895, il n'est pas très connu en France. Il a plus de succès en Angleterre (le Scraps, Le Pictorial Comic Life, le Pick Me Up) ou même aux Etats Unis (le Puck).

Benjamin Rabier se marie le 2 octobre 1894 avec Sophie Giroux et s'installe avenue de Ségur.
L'année suivante, il connaît ses premiers succès : Le journal Le Rire lui prend régulièrement des dessins. Mais c'est surtout la création du Pêle Mêle en septembre 1895 qui va assurer son avenir. Parallèlement, il évolue dans sa carrière de fonctionnaire aux halles.
En 1897, il participe à un album collectif puis sort, l'année suivante, son premier album Tintin Lutin.
A ce moment, il est père de deux enfants : Benjamin, né en 1895 et Suzanne née en 1897.
Il participe, avec Félix Juven à l'ouverture de la maison du rire. En juillet 1899, il collabore aussi à la nouvelle formule du Journal Amusant auquel il fournit une planche par semaine.
En 1900, il achète une maison à Lye (canton de Valençay), retour aux sources de la famille Rabier (l'Indre) et lieu d'inspiration.

Au début du siècle, Benjamin Rabier devient un dessinateur humoristique à succès. Il collabore à un grand nombre de revues humoristiques et de publications pour la jeunesse. En 1902, il se voit confier un numéro de l'Assiette au Beurre. Sa production d'albums s'accélère. En 1904, il fait construire un hôtel particulier rue Chasseloup-Laubat ou il emménage l'année suivante. Il y entreprend l'illustration des Fables de La Fontaine.
Il expose ses œuvres en 1907 au Salon de l'école française, puis en 1910 au Salon du peuple dont le catalogue est réalisé par Guillaume Apollinaire.
Il conçoit une collection de jouets et se lance dans l'édition d'un journal pour la jeunesse Histoire comique et naturelle de animaux qui paraîtra de novembre 1907 à avril 1908. Il s'intéresse aussi beaucoup au théâtre. Sa collaboration avec Willy (mari de Colette) au Journal Amusant lui ouvre des portes et sa première pièce Le Château des Loufoques est représentée en 1910.

En 1910, Benjamin Rabier souffre de "troubles cérébraux dus au surmenage intellectuel" et est contraint de prendre une retraite anticipée de son poste de sous-inspecteur aux halles.
Sa dernière fille, Simone naît en 1911.
Ses pièces de théâtre se succèdent à un rythme soutenu. Il s'attaque à l'illustration du Roman de Renard dans une version modernisée par Jeanne Leroy-Allais et à celle de l'Histoire naturelle de Buffon. Il est fait chevalier de la légion d'honneur en 1913.
A partir de 1916, Il se lance dans une nouvelle activité : le dessin animé. Il travaille tout d'abord en collaboration avec Emile Cohl jusqu'en 1917 puis seul jusqu'en 1922.
Il perd son fils Benjamin, des suites d'une maladie, en juillet 1917. La maison de Lye est vendue. Il devient grand père en 1921.
Il revient au théâtre en 1923 et partage désormais sa vie entre le théâtre, la littérature enfantine et la publicité. Il crée la boîte de La Vache qui rit en 1924. Il dessine les seize albums de Gédéon de 1923 à 1939. A partir de 1936, il renoue avec l'Angleterre et produit une série de délicieux petits albums pour des éditeurs anglais.

Benjamin Rabier meurt le 10 octobre 1939 au "Breuil" (Faverolles - Indre), propriété achetée par son gendre en 1924. Il est enterré à Faverolles dans cette terre berrichonne qu'il aimait et qui l'a inspiré.

 

 


 

Musique : Casse-Noisette, OP. 71 Acte II (Nutcracker)
Danse de la Fée Dragée (Dance of the Sugar Plum Fairy)
Tchaïkowski - 2 Mo - 2 mn 13 :


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